J’ai un switch clavier/souris/écran pour connecter 2 PC : un sous Linux et un sous Windows.
Quand je connecte tous les ports, cela fonctionne, mais à chaque bascule vers le laptop Windows, j’ai une reconfiguration de l’écran, mes fenêtres sont déplacées et cela m’énerve. Le switch fait comme si j’avais débranché/rebranché l’écran physiquement et Windows se sent obligé d’adapter toute la disposition !
Dans mon précédent billet, j’avais configuré un réseau sécurisé sur 2 machines virtuelles à l’aide de Nebula.
Cette fois, je tente de faire communiquer un client et un serveur MySQL à travers le tunnel Nebula.
Simulons un réseau maillé (mesh en anglais) avec Nebula en configurant 2 machines virtuelles à l’aide de Vagrant.
Le tout sera fait sur ma distribution Linux (Ubuntu 20.04) où j’ai déjà installé Virtualbox.
Vous pouvez forcer l’emplacement de la webcam d’un point de vue “device linux” : même si on change le port USB, on pourrait toujours avoir notre webcam sur /dev/video99 (par exemple).
Avec des écrans 4K, la console linux devient illisible : la police de caractère est trop petite. Alors comment faire pour agrandir sa taille pour avoir une console lisible après démarrage ?
Cette note explique comment afficher une horloge géante sous Linux sans utiliser de programme particulier ni utiliser une application web comme time.is. Avec juste votre terminal et quelques commandes, vous pourrez obtenir ce qui suit :
Pour changer le nom de son dossier de synchronisation ownCloud, on peut utiliser cette astuce sous Linux (probablement aussi sur les autres plateformes).
Une fois récupérée la distribution Linux de vos rêves, au format ISO, comment l’installer sur une clé USB ?
Bien sûr, on peut toujours utiliser des installateurs graphiques comme UNetbootin mais c’est plus drôle de le faire en une seule ligne de commande :
Avec Udev, il est possible de modifier le nom de l’interface wifi.
Tout d’abord, on doit récupérer l’adresse mac de la carte wifi.
Pour se débarraser du démarrage graphique sur Linux, on peut modifier sa configuration grub :
# modifier la configuration grub
sudo vi /etc/default/grub
# supprimer les options splash, quiet, ... de la variable GRUB_CMDLINE_LINUX_DEFAULT
GRUB_CMDLINE_LINUX_DEFAULT="text"
# sauvegarder et relancer grub
sudo update-grub
Lorsqu’on tente de monter un disque usb via son file manager (Thunar ou Nautilus), on peut avoir un message d’erreur ’not authorized’. Lorsqu’on a un environnement de bureau à la Gnome ou KDE, toutes ces histoires de gestion des droits est pris en charge de façon transparente. Mais quand on veut avoir un environnement hyper léger, il y a des manipulations à faire pour contourner certains problèmes. Voici la marche à suivre :
Ce serait chouette d’arriver à afficher une ligne horizontale dans le terminal, avant chaque commande : ça permettrait de séparer visuellement les résultats d’exécution.
Pour faciliter l’administration de machines distantes sous Linux, c’est mieux de ne pas gérer de mot de passe et d’utiliser des clés de sécurité.
Après avoir récupéré le tar.gz du jdk depuis chez Oracle et décompressé dans le dossier /usr/lib/jvm, il faut utiliser la commande suivante pour l’installer comme alternatives :
Voici une petite astuce pour surveiller ses serveurs mysql sans déployer d’outil particulier :
mysqladmin -u root -p -i 5 processlist
L’option -i ou - sleep en version longue permet de spécifier une durée en seconde pour répeter la commande. Très pratique pour du dév en local et prend quasi pas de ressource.
J’ai une configuration minimaliste sur mes ordis : GNU/Linux/Ubuntu pour la couche OS et dwm pour l’interface graphique. Pour avoir un minimum de confort sur le portable, j’aime bien être alerté quand la batterie arrive à 5%. Jusque là, j’utilisais xmessage qui ouvrait une fenêtre avec le message d’alerte. Mais une fenêtre qui s’ouvre brutalement sous dwm, un “tiling window manager” ça n’a pas le même effet que sur les windows managers classiques : c’est très intrusif, surtout en plein édition de code…
rdesktop -r disk:toto=/home/user/path your.server.com -r sound:local
Un client nous a demandé de migrer son application qui tournait sur une Debian vers une plateforme Windows en VM pour mutualiser ses coûts d’administration. Pas de grosse difficulté puisque l’application avait été faite sous java en 2004 (presque 10 ans, ça nous rajeunit pas).
Un ami m’a demandé le nécessaire pour rendre son Ubuntu Gnome complétement public, c’est-à-dire qu’aucun mot de passe ne soit demandé. Je pensais que ce serait simple à priori. Et bien il en n’est rien. Voici un petit mémo des étapes à suivre pour rendre son Ubuntu Gnome complétement libre d’accès !
J’avais un grand nombre de PDF à convertir en JPG pour être intégré en GED. Des PDF qui devaient rester imprimable après coup, donc qui devaient garder un haut niveau de densité (au moins 300 dpi).
En essayant de réhabiliter un vieux PC avec la dernière Ubuntu (Jaunty 9.04), je me suis confronté à un souci de configuration de ma webcam avec Skype : les gens avec qui je travaille sont sur Skype et ne sont pas informaticiens (juste pour éviter les “mais skype c’est mal, faut utiliser xxx” - mettre votre logiciel libre préféré à la place des xxx)